Extrayez une locution de votre langage quotidien (ex. : « Ça commence à bien faire ! »), passez le verbe à l’infinitif (commencer à bien faire), puis conjuguez ce dernier à toutes les personnes, modes, temps de la langue française (Je commence à bien faire, Tu commenceras à bien faire, Que nous commençassions à bien faire, Commencez à bien faire !, etc.). Amusant ? Pas seulement. Les auteurs de ce « précis de conjugaison », adoptant une posture d’apprentis linguistes, interpellent les habitudes, fouillent les ressorts de l’oralité, y ouvrent des significations insoupçonnées, remettent en jeu ce qui apparemment va de soi, bref, questionnent l’évident.
À travers la manipulation de plus de 200 locutions, la langue française se voit ainsi dépliée (cf. latin explicare) puis repliée (cf. latin cumplicare), au cœur même du nerf de toute parole : le verbe.
Extrayez une locution de votre langage quotidien (ex. : « Ça commence à bien faire ! »), passez le verbe à l’infinitif (commencer à bien faire), puis conjuguez ce dernier à toutes les personnes, modes, temps de la langue française (Je commence à bien faire, Tu commenceras à bien faire, Que nous commençassions à bien faire, Commencez à bien faire !, etc.). Amusant ? Pas seulement. Les auteurs de ce « précis de conjugaison », adoptant une posture d’apprentis linguistes, interpellent les habitudes, fouillent les ressorts de l’oralité, y ouvrent des significations insoupçonnées, remettent en jeu ce qui apparemment va de soi, bref, questionnent l’évident.
À travers la manipulation de plus de 200 locutions, la langue française se voit ainsi dépliée (cf. latin explicare) puis repliée (cf. latin cumplicare), au cœur même du nerf de toute parole : le verbe.
Relié
17,8 × 24 cm
240 pages
En coédition avec la Ferme du Buisson
ISBN : 978-2-91517-316-1