Depuis ses débuts, Philippe Chancel photographie les sociétés autoritaires. En 2008, il se rend aux Émirats arabes unis. Dans ce gigantesque chantier à ciel ouvert, il découvre des point communs avec les dictatures communistes : utopie, culte de la personnalité donnant lieu à une iconographie envahissante, concentration du pouvoir, contrôle sur les individus et surtout déni de l'humain.
Philippe Chancel s'intéresse à la manière dont ces sociétés mettent en scène leur pouvoir.
Les photographies de Philippe Chancel cherchent à briser ce miroir aux alouettes contemporain. L'esthétique documentaire, les cadrages frontaux et distanciés, l'absence de tout affect pointent précisément le lieu où la propagande des idéologies agit, c'est-à-dire dans les apparences et les faux-semblants. Avec un texte de Quentin Bajac, conservateur en chef de la photographie au MoMA.
Depuis ses débuts, Philippe Chancel photographie les sociétés autoritaires. En 2008, il se rend aux Émirats arabes unis. Dans ce gigantesque chantier à ciel ouvert, il découvre des point communs avec les dictatures communistes : utopie, culte de la personnalité donnant lieu à une iconographie envahissante, concentration du pouvoir, contrôle sur les individus et surtout déni de l'humain.
Philippe Chancel s'intéresse à la manière dont ces sociétés mettent en scène leur pouvoir.
Les photographies de Philippe Chancel cherchent à briser ce miroir aux alouettes contemporain. L'esthétique documentaire, les cadrages frontaux et distanciés, l'absence de tout affect pointent précisément le lieu où la propagande des idéologies agit, c'est-à-dire dans les apparences et les faux-semblants. Avec un texte de Quentin Bajac, conservateur en chef de la photographie au MoMA.
Relié
37 × 28,5 cm
128 pages
54 photographies couleur
Texte
Quentin Bajac
Édition limitée disponible
ISBN : 978-2-91517-352-9