La disparition de Venise est annoncée... Documenter l’architecture de la ville en ayant conscience de cette évanescence, tel est le parti pris du travail photographique de Frédéric Delangle. Clin d’œil au roman de Georges Perec, Venezia, La scomparsa (Venise, La disparition) fait référence à la contrainte formelle que le photographe s’est fixé pour ce travail : faire disparaître les couleurs intermédiaires entre le noir et le blanc, ainsi que les contrastes, en jouant sur la densité de ses images. L’architecture de la ville s’évapore le jour et devient fantomatique la nuit, donnant une sensation d'étrangeté, de flottement.
Venise maintes fois peinte, photographiée, filmée, ne semble plus rien avoir à dévoiler et pourtant ce travail singulier nous invite à porter un regard aigu sur la cité italienne et peut-être pénétrer plus avant ses secrets.
La disparition de Venise est annoncée... Documenter l’architecture de la ville en ayant conscience de cette évanescence, tel est le parti pris du travail photographique de Frédéric Delangle. Clin d’œil au roman de Georges Perec, Venezia, La scomparsa (Venise, La disparition) fait référence à la contrainte formelle que le photographe s’est fixé pour ce travail : faire disparaître les couleurs intermédiaires entre le noir et le blanc, ainsi que les contrastes, en jouant sur la densité de ses images. L’architecture de la ville s’évapore le jour et devient fantomatique la nuit, donnant une sensation d'étrangeté, de flottement.
Venise maintes fois peinte, photographiée, filmée, ne semble plus rien avoir à dévoiler et pourtant ce travail singulier nous invite à porter un regard aigu sur la cité italienne et peut-être pénétrer plus avant ses secrets.
Relié
30 x 24 cm
60 photographies
136 pages
Textes trilingues (français, anglais et italien)
Sabrina Ponti
Jean-Michel Wilmotte
Lien vers le feuilletage vidéo du livre
ISBN : 978-2-36511-138-6