Quelles perceptions avons-nous de notre environnement, quel est notre rapport au monde sensible ? Comment saisir l’insaisissable en photographie ?
Pour cette nouvelle série, Terri Weifenbach s’est intéressée au vivant, à la nature, l’eau, l’air, la lumière, le feu, et interroge l’aptitude de la photographie à capturer l’évanescence de phénomènes naturels et sensibles. En partant des données d’instruments scientifiques qui mesurent avec une grande précision des manifestations météorologiques telles que la formation des nuages, la photographe américaine nous invite à explorer une nature perçue à travers ses intimes variations de lumière, d'humidité ou de chaleur avec toute la poésie et la finesse qui caractérisent son travail : des marais salants de St. Catherines Island, aux profondes vallées du Montana, des parcs immémoriaux de Nara, au Japon, au Jardin des plantes du Muséum national d’histoire naturelle de Paris. Le geste photographique se fait perception. Où sommes-nous ? Le lecteur ne le saura qu’à la fin…
Un essai de Luce Lebart, historienne de la photographie et commissaire d’exposition, sur l’émergence de l’intérêt des artistes de la Renaissance pour les phénomènes météorologiques jusqu’aux premières études scientifiques sur les nuages parues à l’aube du XIXe siècle, inscrit l’approche photographique de Terri Weifenbach dans la longue quête artistique pour tenter de restituer le sensible du monde.
Quelles perceptions avons-nous de notre environnement, quel est notre rapport au monde sensible ? Comment saisir l’insaisissable en photographie ?
Pour cette nouvelle série, Terri Weifenbach s’est intéressée au vivant, à la nature, l’eau, l’air, la lumière, le feu, et interroge l’aptitude de la photographie à capturer l’évanescence de phénomènes naturels et sensibles. En partant des données d’instruments scientifiques qui mesurent avec une grande précision des manifestations météorologiques telles que la formation des nuages, la photographe américaine nous invite à explorer une nature perçue à travers ses intimes variations de lumière, d'humidité ou de chaleur avec toute la poésie et la finesse qui caractérisent son travail : des marais salants de St. Catherines Island, aux profondes vallées du Montana, des parcs immémoriaux de Nara, au Japon, au Jardin des plantes du Muséum national d’histoire naturelle de Paris. Le geste photographique se fait perception. Où sommes-nous ? Le lecteur ne le saura qu’à la fin…
Un essai de Luce Lebart, historienne de la photographie et commissaire d’exposition, sur l’émergence de l’intérêt des artistes de la Renaissance pour les phénomènes météorologiques jusqu’aux premières études scientifiques sur les nuages parues à l’aube du XIXe siècle, inscrit l’approche photographique de Terri Weifenbach dans la longue quête artistique pour tenter de restituer le sensible du monde.
Relié
21 x 28 cm
216 pages
110 photographies couleur
Texte
Luce Lebart
Cet ouvrage a reçu le soutien de la Galerie Blitz, Tokyo
Lien vers le feuilletage du livre
ISBN : 978-2-36511-306-9