Jacques-Henri Lartigue

L'épreuve de la couleur

L’épreuve de la couleur de Jacques Henri Lartigue éclaire un pan méconnu de l’œuvre du célèbre photographe : sa fascination pour l’Autochrome stéréoscopique – l’un des premiers procédés de photographie couleur tout juste introduit. Les 90 plaques conservées, produites de 1912 à 1928 puis en 1946, sont présentées ici pour la première fois dans leur intégralité et dans leur format original. Ce procédé constitue un formidable outil d’exploration et renouvelle son rapport au médium, à rebours de son travail sur la vitesse. Plus attentif à la construction de l’image et à développer une large palette chromatique, le photographe se place davantage dans la posture du peintre que de l’instantanéiste.

Le corpus visuel est introduit par un essai de Marion Perceval intitulé L’impression absolue de réalité et le texte Le gilet « tango » de Lartigue du commissaire d'exposition et historien de la photographie, Kevin Moore, permettent de saisir l’importance du corpus et son impact sur l’histoire de la photographie couleur, ainsi que la résonance qu’il continue d’avoir. Plusieurs notices illustrées, à la fin de l’ouvrage, explorent, entre citations et analyses, l’évolution de l’intérêt du photographe pour l’Autochrome, ainsi que les interrogations qu’il soulève.

L'épreuve de la couleur
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L'épreuve de la couleur
L'épreuve de la couleur
L'épreuve de la couleur
L'épreuve de la couleur
L'épreuve de la couleur
Jacques-Henri Lartigue

L'épreuve de la couleur

45,00 €

L’épreuve de la couleur de Jacques Henri Lartigue éclaire un pan méconnu de l’œuvre du célèbre photographe : sa fascination pour l’Autochrome stéréoscopique – l’un des premiers procédés de photographie couleur tout juste introduit. Les 90 plaques conservées, produites de 1912 à 1928 puis en 1946, sont présentées ici pour la première fois dans leur intégralité et dans leur format original. Ce procédé constitue un formidable outil d’exploration et renouvelle son rapport au médium, à rebours de son travail sur la vitesse. Plus attentif à la construction de l’image et à développer une large palette chromatique, le photographe se place davantage dans la posture du peintre que de l’instantanéiste.

Le corpus visuel est introduit par un essai de Marion Perceval intitulé L’impression absolue de réalité et le texte Le gilet « tango » de Lartigue du commissaire d'exposition et historien de la photographie, Kevin Moore, permettent de saisir l’importance du corpus et son impact sur l’histoire de la photographie couleur, ainsi que la résonance qu’il continue d’avoir. Plusieurs notices illustrées, à la fin de l’ouvrage, explorent, entre citations et analyses, l’évolution de l’intérêt du photographe pour l’Autochrome, ainsi que les interrogations qu’il soulève.

Relié, 19 × 22,5 cm
160 pages
150 photographies couleur

Direction d’ouvrage
Marion Perceval

Textes 
Marion Perceval,
directrice de la donation Jacques Henri Lartigue
Kevin Moore,
historien de l’art

Cet ouvrage a reçu le soutien de 
la Fondation Jacques Henri Lartigue
la Médiathèque du patrimoine et de la photographie (MPP)

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